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Foire Aux Questions

Vous trouverez ici Les réponses à vos questions les plus courantes. Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à utiliser le formulaire en bas de page.

A cette heure ou la tendance est de plus en plus orientée vers le local, nombre de restaurateurs optent pour le choix de bouchers de proximité au même titre que des volaillers, poissonniers et autres exploitants de denrées alimentaires d’origine animale (DAOA) en se plaisant même à communiquer sur leur engagement sociétal … en ignorant parfois la règlementation en la matière.

C’est ainsi que vous n’avez pas compris, pourquoi les autorités sanitaires ont considéré comme non conforme ce choix et vous ont rappelé à l’ordre avec le commentaire suivant :
« Approvisionnement en viandes auprès d’un établissement non autorisé pour cette activité »

Comme échangé ce jour par téléphone et dont j’apprécie votre sympathie et ce temps investit en ce week end pour avoir utilisé notre FAQ, voici les éléments qu’il faut (re)considérer :

Bouchers et autres exploitants de DAOA comme les restaurateurs sont considérés comme des commerces de détail au regard des dispositions en vigueur, c’est-à-dire exploitant en B to C, autrement dit en « Business to Consummer » (traduisez de professionnel à consommateur).

Mais dès lors, que ces professionnels évoluent en B to B, c’est-à-dire en « Business to Business » (de professionnels à professionnels), le principe d’agrément sanitaire ou de dérogation s’applique particulièrement pour ces fameuses DAOA. Plusieurs conditions et spécificités sont exonérées mais dans votre cas, pour avoir pris le temps de bien considérer votre contour, vous êtes pleinement concerné par le fait que votre boucher local doit en effet disposer de cet agrément ou dérogation.

Je vous remets donc à disposition le lien actif pour la demande en ligne de dérogation à l’obligation d’agrément sanitaire dont doit procéder votre boucher. Ce qui lui permettra à l’issue d’exercer son activité complémentaire (normalement soumise à agrément sanitaire) tant que celle-ci sera exercée de manière localisée et restreinte comme le précise clairement les textes en vigueur.

Nous déplorons, comme nos consœurs et confrères intègres ainsi que de très nombreux porteurs de projets et professionnels en alimentaire, de telles pratiques de sociétés qui ne sont là que pour vendre des formations et qui LES FACTURENT PLEINEMENT à travers les comptes formations des utilisateurs (sans parler des tarifs au regard de la prestation).

TOUTES CES SOCIÉTÉS JOUENT EN FAIT SUR LES MOTS en précisant que leurs formations sont/peuvent être prises en charge à 100%, qu’elles sont gratuites en ne vous demandant 0€ …

… C’EST DONC UN MENSONGE ABSOLU car votre compte personnel de formation (CPF) est bien débité du montant de la formation qu’elles proposent et dont NOUS VOUS INVITONS VIVEMENT A COMPARER LES TARIFS ET PRESTATIONS …

D’ailleurs, la définition du Larousse est claire en matière de GRATUITE :
1. Qui est fait ou donné sans qu’il en coûte rien, dont on jouit sans payer.
2. Qui est accordé d’une manière désintéressée

Ce qui est doublement dommage car les instances officielles ne réagissent malheureusement pas en temps et heures depuis des mois que ces pratiques existent …

… Et encore plus dommageable pour la personne qui se forme à travers ces plates formes et qui ne perçoit pas du coup une formation spécifique par rapport à ses attentes et besoins pédagogiques* et encore moins du suivi, de veilles dans le temps … contrairement à ce que nous proposons chez CONTRAST ainsi que nos consœurs/confrères inscrits dans la même éthique que nous.

*Comment avoir la prétention en 14h de formation, encore plus si c’est en E-learning, de couvrir les attentes et besoins pédagogiques pour tous les professionnels concernés allant du chef à domicile au restaurant étoilé, du boulanger au charcutier, traiteur, des commerces sédentaires (à domicile, en laboratoires, en cuisine ou dark kitchen) aux commerces ambulants (camions pizzas, food trucks, marchés …) sans animer des formations par typologies de publics ?

Parcourez les sites de formations, lisez les avis et recommandations signés par leurs auteurs (et non des … « Gérard du 95 »), voyez leurs disponibilités, leurs suivis (gratuits ou pas) dans le temps … et COMPAREZ LES TARIFS AVEC LES SERVICES PROPOSES !!!

Restant à votre écoute 7j/7

Tout d’abord, il faut considérer qu’un foyer de TIAC (Toxi-Infection Alimentaire Collective) est défini par l’apparition d’au moins deux cas groupés d’un ensemble de symptômes similaires, généralement digestifs, dont la cause peut être rapportée à une même origine alimentaire.

Si tel est le cas, l’exploitant doit déclarer toute suspicion de TIAC à l’ARS et la DD(CS)PP conformément à la procédure de gestion de crise qui doit figurer dans son PMS (Plan de Maitrise Sanitaire).

Pour mémoire, la non-déclaration d’une suspicion de TIAC constitue une contravention de 3e classe punie par l’article R. 237-6 du CRPM, passible d’une amende de 450 € pour une personne physique et 2 250 € pour une personne morale.

Des investigations seront alors menées par les autorités compétentes, notamment une enquête sur la chaîne alimentaire et un contrôle officiel de l’établissement. Pour faciliter ces investigations, le professionnel doit, dès suspicion de TIAC, mettre à la disposition des autorités compétentes :
Les éventuelles matières premières ou restes de plats qui ont été utilisés ou servis au cours des derniers repas ; ceux-ci ne doivent pas être réutilisés dans de nouvelles préparations
Les menus, l’ensemble des éléments de traçabilité (ex : bons de livraison, d’expédition, factures…) et les enregistrements (ex : enregistrements du refroidissement rapide, de la remise en température…) des plats servis les jours précédant la suspicion de TIAC
Les plats témoins si existant.

Restant à votre entière disposition si besoin à toutes heures.

La note d’information interministérielle (DGS + DGAL) annexée à l’IT DGAL/SDSSA/O2007-8001 du 13 février 2007 reste en effet toujours d’actualité : face au risque de syndrome hémolytique et urémique, « il faut impérativement, pour les consommateurs sensibles, cuire à cœur les steaks hachés c’est-à-dire à 65°C ».

En vous remerciant et restant à votre écoute si besoin.

Nous déplorons, comme nos consœurs et confrères intègres ainsi que de très nombreux porteurs de projets et professionnels en alimentaire, de telles pratiques de sociétés qui ne sont là que pour vendre des formations et qui LES FACTURENT PLEINEMENT à travers les comptes formations des utilisateurs (sans parler des tarifs au regard de la prestation).

TOUTES CES SOCIÉTÉS JOUENT EN FAIT SUR LES MOTS en précisant que leurs formations sont/peuvent être prises en charge à 100%, qu’elles sont gratuites en ne vous demandant 0€ …

… C’EST DONC UN MENSONGE ABSOLU car votre compte personnel de formation (CPF) est bien débité du montant de la formation qu’elles proposent et dont NOUS VOUS INVITONS VIVEMENT A COMPARER LES TARIFS ET PRESTATIONS …

D’ailleurs, la définition du Larousse est claire en matière de GRATUITE :
1. Qui est fait ou donné sans qu’il en coûte rien, dont on jouit sans payer.
2. Qui est accordé d’une manière désintéressée

Ce qui est doublement dommage car les instances officielles ne réagissent malheureusement pas en temps et heures depuis des mois que ces pratiques existent …

… Et encore plus dommageable pour la personne qui se forme à travers ces plates formes et qui ne perçoit pas du coup une formation spécifique par rapport à ses attentes et besoins pédagogiques* et encore moins du suivi, de veilles dans le temps … contrairement à ce que nous proposons chez CONTRAST ainsi que nos consœurs/confrères inscrits dans la même éthique que nous.

*Comment avoir la prétention en 14h de formation, encore plus si c’est en E-learning, de couvrir les attentes et besoins pédagogiques pour tous les professionnels concernés allant du chef à domicile au restaurant étoilé, du boulanger au charcutier, traiteur, des commerces sédentaires (à domicile, en laboratoires, en cuisine ou dark kitchen) aux commerces ambulants (camions pizzas, food trucks, marchés …) sans animer des formations par typologies de publics ?

Parcourez les sites de formations, lisez les avis et recommandations signés par leurs auteurs (et non des … « Gérard du 95 »), voyez leurs disponibilités, leurs suivis (gratuits ou pas) dans le temps … et COMPAREZ LES TARIFS AVEC LES SERVICES PROPOSES !!!

Restant à votre écoute 7j/7

Merci pour cette question car il ne se passe pas en effet une semaine pour que l’un des 800 Clients que nous formons chaque année nous précisent qu’ils ont été démarché (physiquement mais le plus souvent par téléphone et mail) par un organisme qui conjugue à la fois un vocabulaire juridique et technique en faisant valoir (pour ne pas écrire « croire ») qu’il vous faut repasser la formation HACCP avec … eux et ce même si vous l’avez déjà suivie.

Nous déplorons ce genre de pratique et nous sommes mêmes fiers de pouvoir écrire et dire que CONTRAST n’a jamais eu recours à ce genre de pratique et encore moins à quelconques démarchages … la seule publicité dont nous sommes fiers de revendiquer, c’est celle de nos Clients qui nous permet depuis toutes ces années de renforcer sans cesse nos expertises métiers !!

Nous vous invitons même à découvrir sur notre page témoignages, les retours de nos Clients dont nous sommes le seul site en France à proposer plus de 900 avis authentiques et signés par leurs auteurs qui nous recommandent à 100 % !!

Pour répondre clairement à votre question : aucun texte de loi ne précise que la formation hygiène alimentaire adaptée à la restauration commerciale de 14 heures doit être repassée régulièrement dans le temps (et ce contrairement par exemple à la formation permis d’exploitation qui demande tous les dix ans un renouvellement par une journée de formation de 07 heures).

Toutefois, en cas d’inspection, si les obligations et recommandations ne sont plus (ou pas) connues et mises en application sur le terrain, car les acquis de la formation se sont/seraient étiolés, alors il peut être demandé de faire une nouvelle formation en hygiène alimentaire (ou appelé également HACCP).

Il en va de même bien entendu, si la personne formée initialement ne fait plus partie de la structure ou n’occupe plus un poste représentatif en cuisine.

C’est pourquoi CONTRAST, fidèle à ses engagements et valeurs, vous propose les veilles réglementaires et sanitaires qui vous permettent de rester (in)formés et de re-suivre en parallèle gratuitement la formation dans une de nos agences.

En espérant avoir répondu clairement à votre interrogation. Restant à votre disposition 7j/7.

Conformément aux nouvelles mesures dictées par le Gouvernement, les établissements mixtes bar/restaurant doivent cesser leur activité de débit de boissons. La partie restauration est toujours possible en respectant l’ensemble des mesures imposées.

Remarque : les établissements de restauration pratiquant un service continu ne peuvent vendre des boissons qu’en accompagnement de nourriture (repas). La boisson est bien l’accessoire du service de nourriture.

Je vous envoie par mail la note que nous avons rédigé à nos Clients dans le cadre de nos veilles réglementaires et sanitaires que nous leur assurons.

L’article R4121-1 du code du travail impose à l’employeur de transcrire et mettre à jour, dans un document unique, les résultats de l’évaluation des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs.

Cette évaluation comporte un inventaire des risques éventuels auxquels les salariés peuvent être exposés. Il faut donc identifier tous les risques dans chaque unité de travail de l’entreprise, y compris ceux liés aux ambiances thermiques. Ce document doit être actualisé.

La crise sanitaire actuelle devient un nouveau risque pour les salariés vous êtes donc tenu de mettre à jour votre Document Unique en intégrant les mesures de prévention nécessaire pour faire face au coronavirus (COVID-19). Votre document unique doit prendre en compte :

o Le risque de contamination au coronavirus

o les situations à risque identifiées dans son entreprise

o les unités de travail/postes et la proportion de salariés concernées

o les mesures de prévention mises en œuvre

o les risques potentiellement générés par les nouvelles mesures prises pour faire face au risque de contamination au coronavirus (ex : travail isolé, manutention de charges seul, utilisation de virucides, etc.).

A votre entière disposition pour vous accompagner en la matière

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